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    NoBloodyKnows


  • ps4

    Warhammer: Vermintide 2
    Editeur : Nordic Games
    Développeur : Fatshark
    Genre : FPS
    Etat du jeu : Jeu disponible
    Date de sortie : 18 Décembre 2018
    Trophées : Oui
    Prix de lancement : 29,99 €
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    test de Warhammer: Vermintide 2

    Version Éditeur

    Test Warhammer: Vermintide 2

    Publié le Dimanche 30 Décembre 2018 à 22:02 par NoBloodyKnows

    Partager son expérience issue d'une création qui s'inspire allègrement d'une autre, c'est toujours prendre le risque de se mettre à dos une quantité de fans du matériau de base. Expliquons-nous : Imaginons un gamer expert d'un Doom-like qui exposerait à un joueur du titre d'origine et culte les apports de sa version...Le résultat serait plus désastreux qu'un repas de Noël arrosé où l'un des convives du bout de table s'improvise Maître du Monde, en précisant qu'il se mettra à l’œuvre dès la semaine prochaine.
    Or, Warhammer : Vermintide 2 est un Left 4 Dead-like…

    La similitude est valable lorsqu'on évoque un soft d'une impressionnante licence appréciée par de fins connaisseurs : La moindre interprétation malheureuse de l'univers en question se paiera au prix fort, un ultra-puriste se chargeant d'assurer les sommations pour que vous vous expiez de vos fautes en raison d'une impie inexactitude.
    Or, Warhammer : Vermintide 2 est issu de la licence…Warhammer.

    Oui, le NBK est taquin et jovial en ce jour.

    Mais il y a plus grave. Et notre devoir est de révéler l'affaire au grand jour : Nos rédacteurs en chef Fourcherman et Pilou sont de grand filous puisqu'ils ont accepté le test. PS Mag sera-t-il donc ainsi exposé de la sorte face à la vindicte populaire ? Parce que si vous avez suivi nos premières lignes (pour ceux qui ne l'ont pas fait, j'ai les noms!), Warhammer : Vermintide 2 (WV2 si vous le permettez, pour le confort de lecture) est l'alchimie d'un jeu dérivé d'un autre mâtiné d'une filiation à un univers gigantesque. Oui tout ça. Ce qui nous incite à se dire qu'au sein du site nous n'avons pas cette peur de se prendre un platane de la part d'une fusion d'aficionados si nous ne sommes pas à la hauteur !

    Enfin si, un peu. Et un fan, sympathisant, passionné ou autre, ça se respecte. Alors même si nos bases envers Left 4 Dead et Warhammer sont sérieuses, nous estimons qu'un jeu-vidéo doit d'abord être évalué pour ce qu'il est, en stand-alone, avant de juger son apport dans le macrocosme. Nous considérerons donc WV2 en tant que tel en vous narrant ses quelques défauts mais aussi et surtout ses incalculables qualités.
    Car c'est aussi ça le coup de cœur.


    L'empirisme impérial

    En mettant quelque peu de côté la plaisanterie, il faut soulever que pour les Suédois de Fatshark, développeur et éditeur du de WV2, l'enjeu est stratosphérique. Confiné pour ses débuts à la sous-traitance, le studio s'est distingué sur la génération antérieure en travaillant notamment pour Capcom sur Bionic Commando Rearmed 2. Peut-être que cela vous semblera léger sauf que 2015 balaiera cette idée suite à la naissance de Warhammer End of Times-Vermintide, un action-FPS coopératif imparfait suivant les traces de Left 4 Dead (L4D) où les jalons seront posés.
    Même système à 4 joueurs, un face-à-face contre un déferlement d'ennemis, du contenu basé sur la passion du grind...le tout teinté de la galaxie abondante de Warhammer.

    Pour les néophytes, plus jeunes ou simplement ceux qui n'ont pu s'y intéresser, Warhammer est un univers fondé dans les 80's par Games Workshop, bannière de Steve Jackson (à ne pas confondre avec son homonyme!) et Ian Livingstone. Un monde imaginaire où s'entrechoquent plusieurs terres et peuples qui s'y côtoient...et y croisent le fer. Nains, Elfes, Skavens, Humains….le background est riche et se confronte à l'essence du Chaos. Il sera par ailleurs transposé en une déclinaison de jeux de rôle, cartes, figurines, vidéoludiques, romans…. Inspiré du Seigneur des Anneaux nous ferez-vous remarquer avec une certaine justesse ? D'un sens oui et il est intéressant de constater que Games Workshop possède des droits pour les jeux-rejetons de l’œuvre de Tolkien, mais Warhammer reste un cas unique délaissant le fade plagiat, choisissant sa propre voie et, disons-le tout net, sa propre Légende.

    Impossible d'en faire fi au moment de l'arrivée de WV2 en cette fin d'année 2018 mais le ton est donné et la marche n'en sera que plus belle. Et alors que L4D 3 se fait attendre (c'est pas bientôt fini, oui?!), WV2 se pare cette fois-ci d'atouts pour se différencier du maître-étalon jusqu'à lui accorder un trépas noble et mérité.

    test de Warhammer: Vermintide 2
    Oppression et saturation, votre nouveau leitmotiv.

    Ta Vermine, on a soif !

    Oui nous fûmes un tantinet long dans notre incipit mais prendre le temps de planter le décor équivaut à la lente envolée de WV2, un titre jouissif de prime abord et démentiel par la suite. Sans bouleverser la formule du premier épisode, il en bonifie la nature. Pas de révolution totale en vue : Le jeu se vit connecté ou non et met en scène 4 héros (sur 5 disponibles) ayant pour but de traverser des niveaux aux objectifs simples et clairs. Chaque héros non-joueur sera remplacé par un bot, au nombre de 3 si vous choisissez de fait de jouer hors-ligne.

    Et c'est là qu'intervient le premier filtrage de l’œuvre : Si votre souhait est de trouver une production vous emmenant en voyage d'un début jusqu'à une fin sans transition ni retours en arrière tout en suivant une route bien définie, autant tourner vos talons car WV2 n'est pas de cette trempe. Pour être le plus concis, nous reprendrons ce qui est édicté par certains adhérents des Souls : Le jeu commence réellement en N+1. Sauf qu'ici, c'est encore plus complexe.

    Finir la campagne, inférieure à 10H sans compter les extensions, ce n'est que gratter le vernis du titre. Vous passerez probablement au niveau 10, quand le jeu vous montrera des capacités liées à de niveaux supérieurs. Car si le jeu propose bel et bien un prologue, se frotter à un premier run est un tutoriel.
    Pour une entrée en matière, WV2 vous propose 4 niveaux de difficulté (recrue, vétéran, champion et légende...attention, pas de prétention sans avoir le level!) et 5 personnages jouables, soit autant de classes allant du magicien au tireur, en passant par le tank. Du classique et néanmoins un émargement envers L4D car chaque héros contrôlé n'est pas un skin de l'autre mais un spécialiste qui serait fortement inspiré de remplir efficacement son rôle. Un artilleur jouant en première ligne mettra à mal son équipe. On ne se bat pas à 4, mais ensemble.
    WV2 fait la part belle à l'entraide que ce soit pour le partage des soins, pour la réanimation d'un coéquipier au milieu du champ de bataille ou pour l'exécution de tâches ponctuelles, variations de situations obligent. Et lorsque votre avatar sera chargé de rechercher et de porter un boulet de canon pour repousser l'assaillant, il a tout intérêt à croire que ses frères et sœurs d'armes lui ouvriront le chemin afin de lui éviter les affres d'une meute belliqueuse.

    WV2 se présente comme tel : Les niveaux sont pensés pour que vous soyez opposés des ennemis prédéfinis sur la carte jusqu'à ce que l'IA s'adapte à votre situation pour vous envoyer une charge de troupes rageuses en surnombre, symboles de l'alliance Hommes-Rats et Nordiques, afin de stopper net votre progression. Partant de ce constat ce sera à vous 4, et non pas à vous seul (téméraires exceptés) de vous organiser pour ne pas être pris à revers et repousser l'assaut. Protéger vos arrières, aller de l'avant, partager vos potions, couvrir un allié en danger, tel sera votre accomplissement désormais. La vue à la première personne est en ce sens un choix judicieux, car le FOV est calibré pour que vous puissiez être cerné de tous les côtés ce qui redimensionne cette nécessité stratégique. Surtout lorsque votre vision est altérée par le sang projeté des ennemis à qui la vie vient d'être ôtée.
    Un concept simple en théorie. Une vue FPS, 3 alliés vous renforçant pour faire le ménage, 2 armes en alternance (càc et moyenne/longue portée), 1 capacité active à recharger en collant des baffes et une fin de niveau à atteindre. Sauf que WV2 nous emmène dans les limbes initiées par Nurgle pour mieux nous projeter la profondeur de ses mécaniques.

    test de Warhammer: Vermintide 2
    Tout feu et toute flamme. Une rencontre chaleureuse.

    It's a kind of Vermin

    S'il semble aisé de jongler avec les subtilités du titre, nous ne saurons que tempérer vos ardeurs. Non pas par prétention, mais par passion : Découvrir WV2 est un moment unique…qui peut s'avérer frustrant. Débuter une partie en ligne et voir un joueur plus aguerri se farcir la map avec une facilité déconcertante pendant que nous cherchons à sortir d'un cul-de-sac a quelque chose de néfaste. Il est quand même difficile de se féliciter d'une victoire aisée à laquelle notre participation est anecdotique.

    C'est pour cette raison que nous ne saurions que trop vous conseiller de mener à bien la campagne principale hors-ligne lors de votre premier run et ce afin d'apprendre l'essence du level-design des niveaux et prendre le temps de les explorer. Pourquoi ? Appréhender les lieux, savoir situer les soins, amener l'ennemi vers une zone de combat plus favorable. Pour accéder également aux bonus, associés à une contrainte cependant. Bien cachés, vous trouverez parfois tomes et grimoires. En partant du constat que votre inventaire est composé, hormis les armes, d'une place pour un soin, d’une pour un buff et d’un emplacement pour les bombes, sachez qu'un tome vous prendra la place des mets curatifs. Vous aurez toutefois la possibilité de le lâcher lors d'une trouvaille de soin pour que celui-ci fasse son office, mais le transport d'objet pour remonter sa barre de vie, c'est terminé pour le niveau.
    Le grimoire est encore plus vicieux. Une fois trouvé, il n'y aura aucun moyen de l'abandonner jusqu'à la fin de mission, sachant qu'il prend la place de la potion de buff. En plus de baisser la vie d'1/3. Par grimoire trouvé dans le niveau, et il y en a 2 à chaque fois. La perte de PV est donc cumulable.

    Alors nous direz-vous « pourquoi s'infliger ces items de malheur » ? Parce que finir une mission avec ceux-ci en poche augmente votre gain d'expérience et votre butin de fin de mission. Et vous découvrirez vite que si WV2 nécessite du skill, un équipement adapté est indispensable.
    Et sans loot, même si votre adresse n'est plus à démontrer, un monstre superbement modélisé tâchera de suivre ses ordres : Vous trancher pour s'extasier devant votre corps divisé.

    test de Warhammer: Vermintide 2
    Tu fais comme dans l'infanterie : Tu te tires ailleurs !

    Vermin my mind ?

    Pour éviter ces écueils, il est important de s'approprier les mécaniques. Si le soft se montre particulièrement généreux graphiquement, il l'est beaucoup moins dans la pédagogie de son gameplay.
    Alors oui techniquement, la tuerie est de mise. Ajoutons à cela une direction artistique du tonnerre, une gestion de la lumière indécente de génie jusque dans sa saturation, un respect du chara/level design de l'univers Warhammer et nous sommes confrontés à un véritable festin visuel, fluide de surcroît malgré le nombre d'adversaires remarquablement animés et affichés à l'écran.
    Mais ce que le jeu gagne en invitation visuelle, il le perd dans l'explication de son cœur. Le prologue vous donnera les rudiments mais la suite dépendra de vos essais.

    Et en démarrant, le gigantisme nous aura fait pousser un cri d'effroi agrémenté d'un « comment je fais pour tout piger ?! » de circonstance. Nous l'avons déjà évoqué, WV2 propose 5 personnages, le même casting que le premier opus, tous typés d'une classe définissant leurs attributs. Sauf que chaque héros dispose de 3 carrières (ou jobs si vous préférez) distinctes et à choisir. 2 d'entre elles seront déblocables selon votre niveau, mais le soft a la bonne idée de vous en présenter les grandes lignes avant déverrouillage. Selon votre carrière, vous pourrez choisir 1 des 3 talents passifs, et ce tous les 5 niveaux (du 5ème au 25ème pour être précis).
    Un peu perdus ? Pas de panique, les choses s'éclaircissent in-game et aucun choix ne sera irréversible. De plus, le loot s'adapte à votre situation. Et, clou du spectacle, 1 de vos personnages au niveau 15 pourra obtenir au fil de ses aventures de l'équipement pour un des héros délaissés que vous auriez envie de sortir du placard magique. Un guerrier level 1 sera toujours plus utile qu'un combattant de niveau 7 équipé d'un cure-dent, non ?

    Toujours est-il qu'avec 5 avatars jouables pour 3 carrières avec une multitude de talents, le tout interchangeable à tout moment dans le hub, vous avez désormais une notion de la durée monstrueuse du titre. Dommage que le jeu ne soit pas foutu de nous offrir un tableau de stat' digne de ce nom, omettant finalement l'essentiel en nous balançant un vague niveau de « pouvoir », associant level et équipement. Une belle fiche de combattant n'aurait pas été de refus, filiation Warhammer faisant foi. Nous devrons nous en passer. Toutefois, WV2 contourne le problème en vous proposant un mannequin d'entraînement affichant les dégâts que vous infligez avec vos nouveaux jouets. Et des armes, comme les protections et amulettes, il y en a. Au point de les accumuler sans vergogne ni attention jusqu'à en être submergé. Heureusement, le système de forge est présent et permet de s'alléger du matériel superflu pour améliorer son équipement et créer des objets.

    Relativement bien conçu, le système devient intuitif malgré un apprentissage difficile, le jeu étant trop opaque à ce sujet. Nous y voyons cependant un signe de respect envers le gamer de la part des développeurs: Les dés vous sont donnés, à vous d'expérimenter . Une ode à la curiosité qui déteint avec le cruel manque de panache et de confiance que nous accordent parfois les studios.

    test de Warhammer: Vermintide 2
    War on fire !

    Au lit Vermine

    Parler de préparation, c'est bien. Se mettre sur la gamelle, c'est mieux ! WV2 permet d'alterner entre coups basiques aux movesets différents selon la répétition et/ou le type d'arme ; coups forts d'écrasement ou de balayage, parade avec ou sans bouclier (régie par des points d'endurance variables selon le stuff porté) et esquive latérale, que vous apprécierez de plus en plus lors de l'élévation de la difficulté. Nous l'avons dit et nous réitérons : Le jeu est pensé pour la coop'. Se soigner hâtivement alors que le camarade est à l'agonie, tirer sur un tonneau explosif ou balancer une grenade à mauvais escient alors que les alliés sont dans la zone de dégâts, faire cavalier seul au lieu de se regrouper pour aller au front sont un ensemble de la liste des causes d'échecs de missions où aucun ne verra le portail de fuite.

    Aux dangers déjà existants s'ajouteront les apparitions de trash-mobs (saleté d'”étrangleurs”!) augmentant la pression et la vigilance ou de tanks Ogres/Mutants/Trolls, de véritables sacs à PV qui cognent fort. Et vite.

    Nous serons aussi en mesure d'apprécier le peu de Boss qui nous seront proposés. Pas toujours inspirés, notamment le second qui aura été notre victime préférée quel que soit le mode de difficulté (en ligne ou non), la majorité nous demandera de la rigueur pour en venir à bout. Et si l'épique est au rendez-vous, le jeu ne se privera pas de nous rappeler que le frontal bête et brutal n'est pas idoine. Excepté éventuellement en difficulté « recrue », insuffisante pour juger de la profondeur et richesse du soft.

    test de Warhammer: Vermintide 2
    I'll keep coming ( Low Roar)

    Du Warhammer ou je fais un malheur

    Fatshark a établi quelque chose de grandiose : WV2 possède tellement de possibilités qu'en faire le tour complet pourrait relever de la gageure. Gamers PS4, nous avons du patienter pour la sortie du jeu par rapport aux autres supports ; force est de reconnaître que l'équilibrage est bien pensé et que 2 DLC s'ajoutent à la campagne principale. Le second fera d'ailleurs fondre les plus tendres d'entre nous, alors qu'en revanche certains crieront au scandale de la redite. Toujours est-il que si WV2 est suivi par sa communauté et son studio de développement, l'infini deviendra alors la norme.

    Nous pourrions éventuellement continuer à louer le jeu en parlant de son côté viscéral, son timing parfait des missions, la variété des ennemis, son OST bien amenée et sa capacité à glorifier le skill (cette capacité passive prévoyant qu'une balle logée en pleine tête vous est rendue, absolument grisant!)...comme nous pourrions le fustiger pour son manque de cross-save partant du hors-ligne vers le connecté (un frein à l'apprentissage!), son scénario anecdotique en dépit de son background de feu, ses parades à 360° qui cassent un peu la dynamique de gestion des espaces mais ce ne serait que vous gâcher ce qui doit être découvert par vous tous, vaillants joueurs.

    WV2 est peut-être cet(te) inconnu(e) qui vous sourit sans vous approcher, mais c'est pour mieux vous demander l'effort de vous avancer et de le(la) découvrir.

    Une magnifique zone d'ombre qui ne demande qu'à ce que vous épousiez sa forme brumeuse.

    test de Warhammer: Vermintide 2
    Hache is to ashes

    Note du test 9/10En conclusion :

    Soyons honnêtes : L'appréciation de Warhammer : Vermintide 2 dépendra de votre sensibilité au genre. Mais la richesse de son contenu est indéniable, généreux et pousse à la diversité empêchant la répétitivité inhérente à cette catégorie de jeu de se soudoyer à la monotonie. Véritable laboratoire d'essais pour le gamer, augmenté par les défis, le soft a le bon goût d'être un enchantement visuel et sonore. Au-delà des simples constats techniques et mécaniques, Warhammer : Vermintide 2 frappe juste en replaçant le joueur, c'est-à-dire vous, votre voisin, nous, les illustres Fourcherman, Pilou, Lonewolf, ReleaseForBurial et Altarya au centre de l'intérêt. Clairement, même si le jeu semble vous snober au premier contact, il vous gratifie de votre intelligence suite à la compréhension de son système. C'est donc par l'exigence de la coopération qu'adviendra le triomphe. Pour l'Empire. Au nom de Sigmar.

    Les plus

    Durée de vie gargantuesque
    Viscéral
    Un potentiel qui se dévoile par étapes
    Varié dans la répétition, délicieux oxymore
    Ennemis différents
    IA d'apparition de meutes évolutive
    Objectifs simples mais efficaces
    De multiples approches de jeu
    Un humour décapant
    Initiés et nouveaux venus réunis
    Mise en valeur de la coopération
    Version PS4 complète
    Superbe (test sur PS4 Pro)

    Les moins

    Quelques bugs de connections et in-game
    Un accueil éprouvant
    Pas d'utilisation du décor
    Un scénario prétexte


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