Kratos, l'ami des bêtes...
A l’instar de Metal Gear dont nous avons déjà parlé, le niveau à disposition pour jouer avec Kratos était le même que lors du Micromania Games Show. Dès que la manette est en main, la magie (de l’Olympe) opère. Le plaisir est immédiat et ce nouveau volet de GOW propose une jouabilité aux petits oignons : "le petit Jésus en culotte de velours".
Le guerrier spartiate est plus en forme que jamais et n’a rien perdu de la fulgurance et de la violence de ses coups. Le tout se déroulant avec la plus grande fluidité et des graphismes au moins aussi beau que GOW III (si ce n’est plus). A noter une nouveauté introduite dans le gameplay, avec la possibilité dorénavant de maîtriser le cours du temps lors de phases de plateformes.
La démo testée se termine par une bataille contre Elephantaur d'une rare violence où le pauvre mammifère fini avec la cervelle en deux...