
La fête semble s'être écourtée brusquement !
“Une jouabilité à l’écoute des Fans”
Capcom a réellement écouté les fans de la série et les nouveautés sont au rendez-vous.
Il est ainsi maintenant possible de tirer tout en avançant ou lorsque l’on est plaqué au sol. Il était temps !
En courant, il est aussi possible d’exécuter une glissade. Comme dans tout TPS, le système de couverture a été intégré mais il est assez hasardeux. Notre personnage pourra aussi exécuter une glissade sur une table. Le changement rapide d’armes et l’accès à l’inventaire est très bien conçu. Le combat au corps à corps n’est pas en reste. Une jauge d’endurance est disponible. Si vous êtes mourant ou que vous avez trop tailladé de J’avos et autres zombies, la jauge tombera à zéro et mieux vaut avoir quelques balles sous le coude le temps de la récupération. A noter que les “Finish Him” au corps à corps sont assez jubilatoires.
Les munitions et autres joyeusetés se ramassent sur les ennemis morts au combat, les valises et caisses à casser. On entend par joyeusetés les herbes et kits de premiers soins mais aussi les points d’habileté. Ces points servent à l’achat d’améliorations en tout genre pour le personnage : armes, ennemis qui lâchent plus de munitions, stabilité du tir,...il y en a pour tous les goûts.
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“T’es moche toi !”
Le bestiaire est tout bonnement splendide. On est dans le sale, l’organique. Entre les zombies assoiffés de chair fraîche, les J’avos et les monstres insectoïdes, Capcom a fait très fort. Les transformations sont magnifiques et la désintégration à la Blade nous ébloui.
Le moteur MT Framework 2.0 a encore de beaux restes. La réalisation générale est plus que correcte. Les décors sont variés, la modélisation exemplaire, un grand bravo. Le côté cinématographique est accentué par la disparition du HUB après utilisation. Certaines séquences sont un peu moins réussies. La course poursuite par exemple, de Chris et Piers dans les rues de Lanshiang est très moyenne et sans grand intérêt.
Côté son, le jeu offre pour la première fois une version entièrement en français. Elle est de qualité et les bruitages sont convaincants.
La durée de vie pour ce genre de jeu est colossale, avec plus de 30 heures de jeu pour venir à bout des quatre campagnes. Le jeu offre comme d’habitude plusieurs modes de difficulté, des éléments à collectionner et 80 emblèmes de serpent disséminés à travers les niveaux. Couplé à cela la possibilité de jouer en coopératif, des modes multijoueurs présents même s’ils sont un peu en retrait, Resident Evil 6 n’a pas à rougir de la concurrence.

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Ada en bien mauvaise posture !
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Un peu d’histoire :
Leon S. Kennedy :
Leon apparaît pour la première fois dans Resident Evil 2. Il rejoint la ville de Raccoon City lorsqu’elle est en proie à une invasion de zombies. On le reverra un peu plus tard dans le quatrième épisode de la série. Il deviendra agent secret, travaillant pour le gouvernement américain.
Helena Harper :
Helena est une nouvelle venue dans la série. Comme Leon, elles est agent secret.
Chris Redfield :
Héros du premier épisode de la franchise. Chris est membre des S.T.A.R.S, un groupe d’élite de la police de Raccoon City. Il rejoindra les membres du B.S.A.A qui luttera contre les armes biologiques à travers le monde.
Piers Nivans :
Nouveau partenaire de Chris, Piers viendra le chercher au fin fond d’un bar pour le réintégrer dans le B.S.A.A.
Sherry Birkin :
Sherry a grandi avec la série. Fille de William Birkin, auteur du virus G, elle apparaît dans Resident Evil 2 où elle rencontre Claire Redfield. Dans Resident Evil 6, elle doit assurer la protection de Jake.
Jake Muller :
Fils d’Albert Wesker, Jake est un mercenaire qui présente une résistance au virus C, virus qui sera au centre de l'intrigue de Resident Evil 6.
Ada Wong :
Ada est une espionne qui apparaît dans les épisodes 2, 4 et 6. Ada et Leon semblent avoir des sentiments réciproques... Ada est un personnage important de cet épisode.
En conclusion : Resident Evil 6 est un titre remarquable. Doté d’une durée de vie exemplaire avec ses quatre campagnes différentes, une modélisation des personnages réussie, une jouabilité au poil, Resident Evil 6 n’a pas à rougir. PSMag ne peut que vous recommandez l’achat de ce hit de fin d’année. A noter que tous les statistiques de jeu sont consultables sur le site www.residentevil.net. Les plus Quatre campagnes pour quatre styles différents
Les fans ont été entendus
Jouabilité plus souple
Durée de vie exemplaire
Réalisation générale de qualité Les moins Quelques phases de gameplay ratées
Modes multijoueurs en retrait
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