Que vous soyez du genre à vous isoler dans un coin pour vous concentrer, ou à vous encourager les uns les autres dans les vestiaires ou encore foncer tête baissée sur la pelouse du stade en étant survolté, Pro Evolution Soccer 2014 vous met une nouvelle fois à l'épreuve dans ce nouvel opus flambant neuf.
Et comme chaque année, la bataille pour le titre du meilleur jeu de simulation de football est lancée et c’est PES qui ouvre les hostilités. Malgré une seconde place répétée lors des années précédentes (toujours derrière FIFA), PES2014 déboule avec un moteur graphique plein d’ambitions et de promesses : le Fox Engine. PES2014 va-t-il du coup enfin se rapprocher du titre de champion avec cette nouvelle arme ? Découvrez l’avis de l’équipe PSMag !
PES2014 joue la carte offensive en demi-teinteBien que distancé depuis pas mal de temps maintenant par son seul et unique concurrent, PES rattrape doucement son retard au fur et à mesure des saisons avec des améliorations différentes à chaque opus. Si Konami a apparemment comprit que la meilleure défense, c’est l’attaque, il nous le montre avec son nouveau moteur : le Fox Engine, qui n’est autre que le même qui sera utilisé pour Metal Gear Solid V : The Phantom Pain, c’est pour dire. En revanche, il semblerait que Konami en garde encore un peu sous la chaussette en faisant le choix de ne pas publier PES2014 sur la prochaine PlayStation next-gen… Peut-être préfère-t-il faire un coup de poker pour la saison prochaine ??? En attendant, décortiquons la saison 2013-2014 qui semble présenter des bons et des mauvais côtés !
PES retrouve enfin l’esprit simulationCertains y verront un défaut, et d’autres un avantage : Konami sort cette saison un PES2014 dont la construction des actions est lente… très lente… trop lente… mais pour laquelle vous devrez aiguiser votre sens tactique pour percer les lignes défensives adverses. Certes, des actions spectaculaires sont toujours présentes lorsqu’un grand nom du football décide d’enchainer un double contact suivi d’un grand pont avant de faire une frappe croisée en pleine lucarne, mais elles se font rares. Par contre, lorsqu'elles se produisent, il va sans dire que le système ultra-perfectionné des ralentis est le bienvenu.