Comme chaque année fin septembre, début octobre, Electronic Arts nous délivre la nouvelle édition de son célèbre jeu de simulation de football, FIFA ! Cette année, c’est l’opus FIFA 15 qui vient taper aux portes de l’ensemble des plateformes de Sony. Mais après un FIFA 14 assez spectaculaire qui lui avait valu la note de 9/10 lors de notre test, quelles peuvent être les améliorations apportées à ce nouvel épisode ? La réponse se trouve ci-dessous, dans le test du jour !
Côté graphisme, ça donne quoi ?Il est clair que FIFA 15 a de nouveau passé un cap par rapport à son prédécesseur ! Et comme vous vous en doutez, le moteur Engine n’est pas innocent dans ces améliorations, surtout lorsqu’il tourne à plein régime sur la console de salon current-gen de Sony, la PlayStation 4. Les 22 joueurs présents sur le terrain se verront immergés au milieu d’une ambiance proche des vrais stades et dont les supporters dans les tribunes ont eu également leur lot d’améliorations visuelles. Côté stade justement, on regretta uniquement l’absence de la représentation exacte des stades de Ligue 1.
Un gameplay de plus en plus réaliste !Si d’un point de vue graphique, on se rapproche de la perfection, ou du moins encore plus que sur FIFA 14, qu’en est-il côté gameplay ? Dans ce nouvel opus d’EA Sports, FIFA 15, de nouvelles sensations se font ressentir dès les premières minutes de jeu. En effet, les contacts musclés se voient être beaucoup plus impressionnants et réalistes que dans les versions précédentes. Quant aux contrôles, conduites de balle et accélérations, ceux-ci se voient également augmenter d’un niveau. Un joueur à l’arrêt commencera son sprint progressivement et non plus dès le premier pas. Et oui, car même Usain Bolt a besoin de 60m pour atteindre sa vitesse maximale. A noter également que de nouvelles cinématiques font leur apparition comme celle où deux joueurs se frictionnent légèrement à la suite d’une faute.
Malgré toutes ces améliorations, oubliez les contrôles sans faille à chaque fois ou les passes impeccables dans les situations les plus délicates. Faites place dorénavant aux erreurs “humaines” avec des dégagements hasardeux ou des contrôles légèrement trop longs laissant la possibilité aux défenseurs de mettre en danger toute son équipe sur une erreur. Cependant, ces critères ne se trouvent fondés que pour une certaine population de joueurs, à savoir les joueurs dits “non stars” puisque les élites sont littéralement boostées aux amphétamines. Inépuisables, crillants de réussite, ces derniers peuvent slalomer à la vitesse de Jean-Baptiste Grange sur une piste noire. D’un point de vue physique, seules les réelles stars du ballon rond comme Ibrahimovic, Messi, Ronaldo et tous les joueurs renommés verront une ressemblance à couper le souffle avec les originaux. Certains autres joueurs se contenteront malheureusement du minimum pour le côté faciès laissant ainsi transparaitre une approximation dont nous nous serions passés volontiers.