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    Loulouze


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    Pro Evolution Soccer 2016
    Editeur et Developpeur : Konami
    Genre : Sport
    Etat du jeu : Jeu disponible
    Date de sortie : 17 Septembre 2015
    Trophées : Oui
    Support


    Test Pro Evolution Soccer 2016

    Publié le Vendredi 09 Octobre 2015 à 14:20 par Loulouze
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    Elu meilleur jeu de sport l’année passée lors des salons estivaux, la licence  Konami revient avec sa release 2016 et son lot d’améliorations. PSMag vous livre son ressenti sur Pro Evolution Soccer 2016 qui était donc attendu au tournant quant à la qualité de son petit frère.

    Voici la version 2016 disponible !

    Pas touche aux valeurs sures !

    Suite à l’énorme remontée en puissance de la licence PES la saison passée, Konami n’a pas voulu, au niveau des menus, bouleverser les habitudes des joueurs. N’en déplaise aux irréductibles demandeurs de renouveau, cet opus 2016 nous livre un menu contextuel habituel dans lequel aucune réelle évolution n’est apportée. Les passionnés du ballon rond seront donc très heureux de retrouver leurs modes préférés en première page sous forme de tuiles et de pouvoir passer, du coup, aux choses sérieuses rapidement.

    Un rendu réaliste

    Le Fox Engine dans toute sa splendeur

    Déjà étonnant de crédibilité lors du précédent opus, PES 2016 frappe encore plus fort côté graphique avec le moteur Fox Engine pour la deuxième année consécutive. Si les menus n’ont pas, voire peu, changé, ce n’est pas le cas de l’esthétique des joueurs, de la modélisation des stades et de la foule sans oublier les cinématiques qui sont d’un réalisme étonnant et époustouflant. Konami a su corriger les erreurs remontées de l’opus précédent : une foule trop approximative, un faciès hasardeux pour certains ‘grand monsieur du football’, … En d’autres termes, cette réalisation 2016 est tout bonnement au rendez-vous des plus pointilleux.

    Un rendu saisissant !

    Pour sa nouvelle saison de football, Konami a su corriger les erreurs du passé. Contrairement aux joueurs méconnus du ballon rond, les joueurs phares bénéficient désormais d’une modélisation à couper le souffle. Et même si on sait faire la différence entre le véritable Neymar et celui de PES 2016, la ressemblance est de plus en plus saisissante.

    Balle aux pieds, la sensation est tout simplement bluffante. PES 2016 prend dorénavant en compte les différents gabarits des adversaires lors de duels à l’épaule. La conduite de balle est quant à elle d’un réalisme quasi parfait. En fonction de la position du joueur, ce dernier fera le geste adapté par rapport à sa situation : double contact, coup du foulard, … même si par moment, certains semblent trop faciles d’exécution… d’où le ‘quasi parfait’.

    Côté duel aérien, il est possible désormais de jouer des coudes pour prendre le dessus sur votre adversaire dès lors que vous aurez le bon timing. Fini le temps où l’on appuyait non stop sur le bouton d’action pour prendre le ballon de la tête. A vous de sauter au bon moment dorénavant ou vous serez vite malmené.

    Si tous ces domaines se sont vus améliorés, Konami n’a pas fait l’impasse sur la défense. Après avoir augmenté la qualité des impacts lors de duels, faites place aux tacles glissés. Comme tout défenseur qui se respecte, un tacle glissé se doit d’être propre afin de récupérer le ballon et repartir vers l’avant au plus vite. Mais que faites vous du facteur ‘chance’ ? Le bout du pied de l’attaquant qui retouche le cuir et qui l’emmène tout de même vers le but ? Ou encore un double contact heureux ou malheureux qui jouera en votre faveur ou défaveur ? Il faudra dorénavant compter… de temps à autre… sur cette chance pour pouvoir amorcer votre contre attaque surtout si votre timing n’est pas géré convenablement.

     

    Goooooooooooooal

    Konami a également travaillé sur les gardiens. Si, lors de l’opus précédent, les portiers étaient plutôt fébriles, PES 2016 voit leur valeur réajustée même si les frappes enroulées à la ‘Titi Henry’ peuvent faire mouche tout de même assez régulièrement. Mais attendez-vous à de belles parades suivies d’une réactivité impressionnante. Les gardiens n’hésiteront plus à se relever rapidement après un arrêt et à se jeter dans vos pieds pour vous empêcher, coûte que coûte, de franchir la ligne de but.

    Quand la météo s’en mêle !

    Les attaquants pourront désormais compter sur la météo pour privilégier, ou pas, leurs frappes de balle. Sur une pelouse trempée, leurs tirs se verront accélérés dès que le ballon touchera le sol. En cas de soleil plombant, le ballon leur collera plus facilement aux pieds à moins que votre coéquipier ne vous envoie une frappe à bout portant en guise de passe.

    Les conditions météorologiques au cœur de l'action

    Carton Jaune… ou pas !

    Et si nous parlions de l’homme en noir ? Konami a… encore une fois… corrigé les défauts de la saison précédente. Si PES 2015 voyait l’ensemble de ses matchs se terminer avec une série de cartons, jaunes comme rouges, impressionnante, cette fois-ci, il s’agit du contraire absolu. Les arbitres de PES 2016 ont, en effet, l’air d’avoir simplement oubliés leurs cartons dans le vestiaire ce qui laisse place, malheureusement, à un déluge de tacles assassins non sanctionnés pouvant ainsi transformer un simple match de foot en un véritable carnage. En d’autres termes : il serait préférable qu’une mise à jour vienne équilibrer tout ça.

    LE point noir

    La licence PES se voit évoluer d’année en année. Si PES 2015 était déjà un bon cru, PES 2016 se voit encore meilleur sur tous les plans. Vraiment sur tous les plans ? Pas si sûr ! Si, la saison passée, le duo Grégoire Margotton et Daren Tulett était juste insupportable, Konami remet le couvercle pour PES 2016. Toujours aussi agaçants, on aurait limite envie de couper le son si l’ambiance des tribunes n’avait pas été revue à la hausse !

    Neymar Launch Trailer

     

    Note du test 8.5/10En conclusion :

    Une année s’est écoulée depuis le très bon PES 2015. Aujourd’hui, PES 2016 se voit être une version nettement améliorée de son petit frère. Les graphismes, qu’ils soient lors de gameplay, replay, ralentis ou cinématique, sont purement saisissants. La physique de balle s’est vue réellement augmentée avec une exploitation du Fox Engine comme on l’attendait. Cette énième simulation de football célèbre donc… quasi parfaitement… les 20 ans de la licence.

    Les plus

    La physique de balle
    La modélisation des joueurs, stades
    Les cinématiques
    Les duels quels qu’ils soient
    La météo et ses caprices
    La réactivité des gardiens
    L’importance du dosage (frappe, passe)

    Les moins

    L’arbitrage trop laxiste
    Une interface inchangée
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